 
  
Merci à tous ceux qui nous envoient un témoignage!
En témoignant de ce que le Seigneur
    a fait dans notre vie,
    nous contribuons à faire connaître
    sa présence et son action
    et c'est Lui que nous louons.

"Que votre lumière brille! 
    Qu'elle soit placée sur le boisseau! 
    Afin que tous ceux qui la voient
    rendent gloire à votre Père
    qui est dans les cieux." 
    (Mt 5, 15-16)
 "Voilà votre rôle dans l'Église: créer des noyaux de croyants qui portent le message du salut de tous côtés,  
      en faisant valoir le poids de votre opinion non pas par l'imposition mais par la force de votre témoignage".
"Voilà votre rôle dans l'Église: créer des noyaux de croyants qui portent le message du salut de tous côtés,  
      en faisant valoir le poids de votre opinion non pas par l'imposition mais par la force de votre témoignage".Jean-Paul ii, Ultreya d'Italie en 1990
Voici, parmi tant d'autres, le témoignage d'une femme de 49 ans à Denver aux États-Unis:
 "Quand la soeur est venue samedi dernier dans notre paroisse,          elle a parlé du Christ et de la manière de l'accueillir comme Enfant. Cela          m'est apparu comme une idée nouvelle car j'ai toujours considéré le           Christ comme adulte. Je le voyais aussi sur la croix, Jésus Crucifié. La           soeur a invité          l'assistance à fermer les yeux et, par la pensée, à tenir l'Enfant-Jésus           bien serré contre son coeur et lui parler. Beaucoup de personnes ont été remuées          par cette expérience. Je dois vous dire ce qui m'est arrivé quand la           soeur a demandé cela. Alors que je tenais l'Enfant-Jésus, il devint très réel. Il          n'était plus sur la Croix, mais dans mes bras. Nous étions en relation exactement          comme une maman portant son enfant dans les bras. Puis une autre impression s'est          manifestée tandis que je le tenais. J'ai ressenti mon fils Pierre, que je n'ai          tenu dans mes bras que deux fois lorsqu'il était bébé. J'avais été enceinte          à 16 ans et l'avais abandonné en vue de l'adoption. Des années plus tard,          après m'être mariée, je n'ai jamais pu avoir d'enfants. La soeur          évoqua ce que cela devait être pour un bébé de n'être jamais porté ni serré          doucement dans les bras. J'ai commencé à ressentir ce manque. En éprouvant cette          douleur, j'ai commencé à pleurer. Cela fut une grande délivrance pour moi: je          faisais l'expérience d'une profonde guérison, la guérison de ce vide.
"Quand la soeur est venue samedi dernier dans notre paroisse,          elle a parlé du Christ et de la manière de l'accueillir comme Enfant. Cela          m'est apparu comme une idée nouvelle car j'ai toujours considéré le           Christ comme adulte. Je le voyais aussi sur la croix, Jésus Crucifié. La           soeur a invité          l'assistance à fermer les yeux et, par la pensée, à tenir l'Enfant-Jésus           bien serré contre son coeur et lui parler. Beaucoup de personnes ont été remuées          par cette expérience. Je dois vous dire ce qui m'est arrivé quand la           soeur a demandé cela. Alors que je tenais l'Enfant-Jésus, il devint très réel. Il          n'était plus sur la Croix, mais dans mes bras. Nous étions en relation exactement          comme une maman portant son enfant dans les bras. Puis une autre impression s'est          manifestée tandis que je le tenais. J'ai ressenti mon fils Pierre, que je n'ai          tenu dans mes bras que deux fois lorsqu'il était bébé. J'avais été enceinte          à 16 ans et l'avais abandonné en vue de l'adoption. Des années plus tard,          après m'être mariée, je n'ai jamais pu avoir d'enfants. La soeur          évoqua ce que cela devait être pour un bébé de n'être jamais porté ni serré          doucement dans les bras. J'ai commencé à ressentir ce manque. En éprouvant cette          douleur, j'ai commencé à pleurer. Cela fut une grande délivrance pour moi: je          faisais l'expérience d'une profonde guérison, la guérison de ce vide.
"Je dois aussi vous dire que mon fils et moi-même nous sommes retrouvés alors qu'il avait 19 ans. Il en a 33 aujourd'hui. Il souffre de difficultés dues à l'abandon. Alors que dans mon esprit je berçais l'Enfant-Jésus, j'avais la sensation non seulement de tenir Jésus, mais aussi mon propre bébé. J'eus l'impression que la guérison spirituelle qui s'opérait en moi, s'opérait aussi chez mon fils. Après cette journée de prière, j'ai parlé à mon fils de ce qui m'était arrivé lorsque je tenais l'Enfant-Jésus dans mes bras. Il m'a écouté silencieusement. Il me dit alors qu'il m'aimait. Ceci est bien sûr une guérison spirituelle, il ne m'avait jamais dit de telles choses auparavant!
"Il y a bien des années, je priais les 3 chapelets par jour. Puis j'ai arrêté. Je recommence maintenant à prier comme auparavant, mais la façon dont la Sainte Vierge m'inspire maintenant, la façon dont elle parle à mon c'ur pendant les mystères, fait que j'éprouve tout ce qu'elle a vécu elle-même au cours de ces mystères, c'est maintenant en moi, elle continue la guérison! Je sais que Dieu travaille dans nos vies par Marie. J'en suis si reconnaissante! C'est une guérison tellement incroyable que de pouvoir prendre Jésus comme un enfant! Je remercie Dieu pour la guérison reçue et lui en rends gloire!"
  Une chose similaire est arrivée à de jeunes étudiants de          l'Université Notre-Dame aux USA. C'était stupéfiant de regarder ces jeunes          gens, si profondément recueillis alors qu'ils tenaient l'Enfant-Jésus           dans leurs bras... Certains avaient eu à lutter fortement pour accepter           que l'Enfant-Jésus prenne la première place dans leur vie (et dans leurs bras !), ceci à cause de leurs blessures.          (Inutile d'évoquer ici la façon dont sont maintenant traités les enfants dans          notre société, et donc les blessures qui sont portées, pas  seulement par les jeunes mais par chaque membre de la société). Ces  étudiants ont tous témoigné de ce que des guérisons sont advenues  durant cette prière, et qu'une grande paix les a envahis. Un docteur en  psychologie, qui animait la retraite, a attesté: "J'étais stupéfait par  les grâces reçues par les étudiants quand ils tenaient l'Enfant-Jésus  dans leurs bras. Ils ont tous reçu des guérisons profondes."
Une chose similaire est arrivée à de jeunes étudiants de          l'Université Notre-Dame aux USA. C'était stupéfiant de regarder ces jeunes          gens, si profondément recueillis alors qu'ils tenaient l'Enfant-Jésus           dans leurs bras... Certains avaient eu à lutter fortement pour accepter           que l'Enfant-Jésus prenne la première place dans leur vie (et dans leurs bras !), ceci à cause de leurs blessures.          (Inutile d'évoquer ici la façon dont sont maintenant traités les enfants dans          notre société, et donc les blessures qui sont portées, pas  seulement par les jeunes mais par chaque membre de la société). Ces  étudiants ont tous témoigné de ce que des guérisons sont advenues  durant cette prière, et qu'une grande paix les a envahis. Un docteur en  psychologie, qui animait la retraite, a attesté: "J'étais stupéfait par  les grâces reçues par les étudiants quand ils tenaient l'Enfant-Jésus  dans leurs bras. Ils ont tous reçu des guérisons profondes."
Ce serait tellement beau si nous prenions tous au sérieux          l'invitation de la cette femme de mettre l'Enfant-Jésus à la première place          dans notre vie. "Un enfant les conduira," dit le prophète Isaïe (11,6). La          Sainte Vierge sait bien pourquoi elle nous demande cela aujourd'hui!