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Ézékiel décrit une vision de la gloire future de Dieu à travers un fleuve d'eau vive sortant du temple. Ce fleuve symbolise le renouveau spirituel, la vie et la guérison. Il assainit la mer Morte, la rendant poissonneuse et la transfigurant de la mort à la vie. Les rives de ce fleuve sont couvertes d'arbres fruitiers qui produisent chaque mois, offrant nourriture et remède, symbolisant l'abondance de la grâce de Dieu.
Dieu est un refuge et une forteresse sûre, même en cas de catastrophe majeure ou de troubles. Le psaume souligne la puissance souveraine de Dieu face à l'agitation des nations et aux bouleversements de la terre. Le psaume nous encourage à faire confiance à Dieu et à trouver le calme en lui, en reconnaissant son autorité et en sachant qu'il est un secours constant et fiable dans toutes les détresse.
Paul enseigne que les croyants sont le temple du Saint-Esprit. Par conséquent, quiconque détruit ou « profane » ce temple par des actes de division, de discorde ou de péché, sera lui-même détruit par Dieu, car ce temple est sacré et appartenant à Dieu. L'« édifice » est l'Église (le corps des croyants), et si quelqu'un le corrompt, il subira la destruction.
Jésus chassant les marchands du Temple de Jérusalem et le défi des chefs juifs concernant son autorité, ce qui le mène à parler de la destruction et de la reconstruction de son propre corps comme un temple.
Ce passage souligne que le vrai temple est le corps de Jésus, que Dieu reconstruira en trois jours après sa mort. Ce texte invite les croyants à ne pas transformer leur église (ou leur propre corps) en « lieu de commerce » et à devenir eux-mêmes des temples vivants de l'Esprit.
Le commentaire invite à ne pas transformer les églises, ou notre propre cœur, en « lieu de commerce » où la spiritualité est sacrifiée au profit du matériel. Il nous appelle à être des bâtisseurs de ce nouveau temple à travers la charité et l'amour, en rendant nos communautés accueillantes pour tous.
Cet évangile met en lumière la colère de Jésus face à la profanation de la maison de Dieu par la cupidité et la corruption, ainsi que la signification de sa résurrection trois jours après sa mort.
Un lieu de beauté où l’on rencontre Dieu ; un lieu où Dieu se fait proche, et où l’homme accepte de s’approcher de Dieu. C’est bien cela que devait être le temple de Jérusalem dans la pensée de Salomon, son premier bâtisseur, et dans le désir de la communauté de pauvres, courageuse et enthousiaste, qui l’avait rebâti au retour d’un exil de quarante ans.
Jésus Christ est pour nous, vraiment et à jamais, le lieu de la rencontre du Père ; mais le Père nous trouve-t-il chaque jour ouverts à cette rencontre, en attente de ce dialogue où il va nous promouvoir dans notre liberté filiale ?