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> Questions du Catéchisme > Liste des questions sur la Vie chrétienne > questions 468 - 469 - 470
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Réponses à un groupe de questions sur la Vie chrétienne

Les questions et réponses,
que nous présentons ici par groupes de deux ou trois
sont extraites du
Compendium (l'abrégé)
du Catéchisme de
l'Église catholique

Le "Pour en savoir plus" réfère au texte de base du grand Catéchisme.

Liens aux autres questions

Questions de la semaine

 

 

Ne pas tuer

468 - À quoi sert une peine ?
469 - Quelle peine peut-on infliger ?
470 - Qu'interdit le cinquième commandement ?

À quoi sert une peine?
Une peine infligée par l’autorité publique légitime a pour but de réparer le désordre introduit par la faute, de défendre l’ordre public et la sécurité des personnes, et de contribuer à l’amendement du coupable.

Pour en savoir plus

Quelle peine peut-on infliger?
La peine infligée doit être proportionnée à la gravité du délit. Aujourd’hui, étant donné les possibilités dont l’État dispose pour réprimer le crime en rendant inoffensif le coupable, les cas d’absolue nécessité de la peine de mort « sont désormais très rares, sinon même pratiquement inexistants » (Evangelium vitæ). Quand les moyens non sanglants sont suffisants, l’autorité se limitera à ces moyens, parce qu’ils correspondent mieux aux conditions concrètes du bien commun, ils sont plus conformes à la dignité de la personne et n’enlèvent pas définitivement, pour le coupable, la possibilité de se racheter

Pour en savoir plus:

Qu’interdit le cinquième commandement?
Le cinquième commandement interdit comme gravement contraires à la loi morale : L’homicide direct et volontaire, ainsi que la coopération à celui-ci; l’avortement direct, recherché comme fin et comme moyen, ainsi que la coopération à cet acte, avec la peine d’excommunication, parce que l’être humain, dès sa conception, doit être défendu et protégé de manière absolue dans son intégrité; l’euthanasie directe, qui consiste à mettre fin, par un acte ou par l’omission d’une action requise, à la vie de personnes handicapées, malades ou proches de la mort; le suicide et la coopération volontaire à celui-ci, parce qu’il est une offense grave au juste amour de Dieu, de soi-même et du prochain; quant à la responsabilité, elle peut être aggravée en raison du scandale ou diminuée par des troubles psychiques particuliers ou par de graves craintes. .

Pour en savoir plus: